-PRÉCARITÉ :
n’oublions pas dans notre secteur professionnel qu’un établissement qui ferme, qui licencie... signifie chômage et précarité pour des salariés « ex-membres de communautés éducatives » qui ont pourtant aussi « rendu service » !
Côté enseignants précaires, le plan SAPIN est terminé , la seule résorption de la précarité passe par les CAER : 1800 postes en 2006 contre 2925 en 2005 soit une baisse de 63% !
-ARGENT pour les ÉTABLISSEMENTS : jamais les établissements n’ont eu autant d’argent par exonération successives de toutes les charges employeur afférant aux enseignants sous contrat ! Et pourtant la FNOGEC annonce déjà refuser toute discussion sur la grille des salaires des personnels !
-TRAVAIL pour tous, salariés et enseignants !
enseignants sans arrêt pressurés, plus de réunions, disponibilité constamment accrue...
La loi Fillon doit être abrogée .
ET MOINS DE
-DROITS pour les chômeurs avec le nouvel accord UNEDIC
Or déjà un chômeur sur deux n’est pas indemnisé : la mission première de l’UNEDIC devrait être d’indemniser correctement les chômeurs et c’est à cette mission que devrait être consacré l’essentiel de son budget !
-ARGENT pour les ENSEIGNANTS
La Prévoyance était gratuite : le maintien de son niveau coûte désormais (loi Censi) 0,2% du salaire brut, prélevé par l’Etat à compter du 1er janvier 2006 et reversé aux caisses privées.
la FNOGEC demande la suppression d’avantages qui existaient dans certains établissements au prétexte de la loi Censi ! (par exemple prise en charge partielle de Mutuelle...)
-PROTECTION SOCIALE pour les personnels de droit privé :
comme le SUNDEP le craignait, la FNOGEC veut réduire fortement les avantages des contrats Prévoyance des salariés de droit privé !
RESISTANCE !